Pays des bois, pays de l’eau
Baigné de sources et de rivières,
Articles les plus récents
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Huelgoat
13 octobre, par mad -
Ce n’était qu’un jeu
13 octobre, par madCe n’était qu’un jeu,
tu le disais toi-même,
un peu un baptème,
se croire courageux. -
Fouilleurs de greve
13 octobre, par madEcoutez les gens de mer,
Hommes au long cours,
et hommes d’estuaire -
A Maistre François des loges
13 octobre, par madA Maistre François des loges.
Qui du peuple fit l’éloge ... -
Bordée nantaise
13 octobre, par madou l’hôtel du cul tourné
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Acrostiche alcoolisé
13 octobre, par madTe souviens-tu grand-père de ces belles journées.
Recherchant des baies au creux des lais forestiers,
Ou dans les haies et au long des douves et fossés.
Une lame à la main, un geste sûr et décidé,
Sur l’épinette, tu coupais les extrémités,
Sectionnant le bourgeon du buisson des sentiers.
Et pouce en l’air et larmes aux yeux,
Pour avoir voulu t’imiter, je te suivais.
Inspectant ainsi landes et ronciers
Nous bavardions tranquillement, moments privilégiés.
Enfin le soir venu, sur la (…) -
Au clair de ma plume
13 octobre, par mad -
La grotte aux korigans
10 octobre, par MadekLa grotte aux korrigans se situe sur la commune du Pouliguen. C’est l’une des nombreuse grottes marines qui parsèment la côte sauvage et ne sont visibles qu’à marée basse. Korrigans ou korriganned devrais-je dire pour respecter la forme pluriel de ce mot d’origine bretonne. Les korrigans sont les lutins bretons. Personnages farceurs, souvent joueurs.
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Je m’en remets au vent
9 octobre, par madOn ne sait pas ce que la vie f’ra, Le ciel se couvre, puis s’éclaircit, Faut tenir bon quand vient le froid, Et s’alléger quand vient l’envie. J’ai fait ma route sans carte en main, Avec mes forces, mes chemins, Je prends la houle comme elle vient, Sans rien forcer, juste demain.
Alors je m’en remets au vent, Il porte l’espoir et le temps, D’un souffle un peu vagabond, Vers d’autres rives, d’autres saisons. Je tends la voile, je suis confiant, Sans regret et sans tourment, J’irai là où le (…) -
Per krajono kaj fosilo
27 août, par Madeken honoro de René-Guy CADOU en tiu nebula lando li naskiĝis. ĉielo kaj pluvo eterne miksiĝis. en la kameno brulas la sektorfo, eksurteriĝas en la mateno sunon . li volupte flaras odorajn matenojn, odorojn de blatojn, de freŝan gudron, li admiras barĝoj sur la pajlo, aŭskultante maleojn de la ŝip ĉarpentisto Li forkuris la urbon, pro ĝiaj simboloj elektis la marĉoj, maro de brierejuloj [1]. Ĉi artefarita vivo ne fariĝos sian, li nune ekvivos per lia pasio. Li havis en sia koro natura (…)